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Eh oui, depuis le 30 novembres dernier je bénéficie des soins au nouveau centre de dialyse de Dinan. Les infirmières attentives, prévenantes, efficaces, nous accueillent avec le sourire et un professionnalisme égal en tous points à la vigilance des docteurs qui veillent sur notre santé.
Le centre offre deux salles baptisées, l'un du Jerzual l'autre Les petits Diables, là ou je suis.
Le dix de ce mois Le Nouveau Centre a eu les honneurs de la presse locale, ci-dessous un des articles :
Le centre hospitalier de Dinan compte désormais une nouvelle unité en ses murs pour prévenir et traiter la maladie rénale chronique.
À Léhon, derrière l’hôpital René Pleven de Dinan, un nouveau bâtiment est désormais en service. Il s’agit d’une unité de dialyse.
1,7 million d'euros d'investissement
Imaginée en 2012, c’est finalement en septembre 2015 que les travaux de cette nouvelle unité se sont terminés. Coût de l’opération : 1,5 million, auxquels s’ajoutent 200 000 € d’équipements spécialisés.
À la manœuvre : AUB Santé. Un établissement de santé privé à but non lucratif qui s’occupe de « la prise en charge des patients atteints d’une maladie rénale chronique et des patients relevant d’une hospitalisation à domicile ».
Jeudi 10 décembre, l’équipe médicale officialisait l’ouverture de l’unité. Un bâtiment de 500 mètres carrés, destiné aux patients « stables » nécessitant le recours à la dialyse.
Un service de proximité apprécié
« Les premiers retours sont très bons. Les patients sont moins fatigués par le déplacement », ajoute Françoise de Monti, infirmière coordinatrice pour l’AUB Saint-Malo - Dinan. En effet, auparavant, les patients devaient se rendre à Saint-Malo ou à Saint-Brieuc.
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Curieux j'étais persuadée d'avoir bavarder avec vous en Novembre, il semble que non. Pourtant j'ai offert un texte pour Jean-Marc sur FB. Je vais donc me rattraper en vous l'offrant maintenant:
Faisons un rêve.
Tout au fond de mon cœur...
Dort comme une caresse,
Le souvenir moqueur
De ta voix qui ne cesseDe dire des tendres mots,
A mon oreille interne.
Litanie, en écho,
Qui résonne et me cerne.La tristesse me ronge
Je ne peux l’extirper
C’est un pénible songe !
Comment m’en échapper ?Parfois j’ai l’impression,
D’avoir enfin trouvé,
La bonne solution.
Je me mets à rêver. !Je te revois enfant,
Tout le reste s’efface. !
Et mon cœur est content
Tu es là, à ta place.Ta présence rayonne,
C’est sûr, c’est vraiment toi !
Et tant pis si personne
Hormis moi, ne te vois.
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Comme j'ai offert à tous un cadeau sous la forme d'un texte extrait de mon recueil des Mots, des maux, des sentiments. Pourquoi ne pas en faire profiter les lecteurs de ce modeste blog. Voici donc:
Il était une fois : Mes fils
J’ai revu les bois et les plaines,
Ceux-là même de votr’enfance
Où vous courriez à perdre haleine
Avec joie et insouciance.
Dans la campagne rien ne change,
Bien sûr les arbres ont un peu grandis
Certains ont une forme étrange
Et j’en reste toute étourdie.
C’est toujours la verte campagne,
Que nous parcourions chaque jour
Pour chercher le bon lait de Bretagne
Que vous dégustiez au retour.
Tout au long du chemin de terre
Nous ramassions des coulemelles
A l’allure de lampadaire,
Au fond la vie était bien belle !
En dépit de quelques privations !
Nous n’avions que pommes de terre
Choux, cochon salé pour provisions
Et alors la belle affaire !
Malgré tout çà nous étions heureux,
Mes enfants et moi nous nous aimions,
Les petits ennuis devenaient jeux,
La recette, c’était l’affection.
Si je pouvais remonter le temps
J’aimerai bien pouvoir revivre
Leur enfance jusqu’à dix-sept ans
Quand afin de pouvoir survivre,
Nous surmontions nos embêtements,
Par une boutade, un bon mot.
Ce n’était pas toujours évident
De faire comprendre à des ados,
Que la vie n’est pas faite de miel,
Que des fleurs peuvent faire souffrir
Que tout ne brille pas au soleil,
Mais qu’il faut croire en l’avenir,
Qu’il y a plein de belles choses,
A connaître et à ressentir,
Que les épines ont des roses,
Pour délicatement les cueillir.
J’ai aimé tous ces jours, mois et ans
Quand j’observais ces quatre frères,
Qui évoluaient tout doucement,
Chacun avec son caractère.
Je m’étonnais et m’émerveillais
De voir les changements accomplis.
Dans leur cœur, leur esprit sommeillait
Un homme prêt à braver la vie.
Si j’ai pu apporter les pierres,
Pour consolider leurs facultés,
Alors j’aurais lieu d’être fière,
D’avoir transmis quelques qualités.
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Coucou, me revoilà.
Je ne pouvais pas laisser passer ces évènements : Les représentations à Tahiti du Bambou noir, sans y mettre mon grain de sel, sous la forme d'un texte destiné à Jean-Marc.
Nul n’est prophète en son Pays ?
Mon fils aimé, mon cher petit,
On a joué le Bambou Noir
Ces jours derniers à Tahiti,
Et j’aime à caresser l’espoir
Que tu feras mentir le proverbe :
Nul n’est prophète en son pays.
Que ton style, ainsi que ton verbe
Seront reconnus, là, ici.
Tous tes amis, ces comédiens
Ont su faire passer ton message :
Le vœu que les us tahitiens,
Résistent à travers les âges.
L’accueil par les jeunes Maori
Font espérer que le flambeau,
Sera un jour ou l’autre repris,
Et brillera toujours plus haut.
Ne pas oublier cet humour
Qui animait ton bel esprit,
Faisant passer critique, amour,
Certitude... Sans parti-pris.
Toutes ces représentations
M’ont apporté grand réconfort,
Même à distance ! Quelle émotion
Qui fait penser à toi, plus fort.
J'espère que cela fera réagir ceux qui ont vu cette pièce à Tahiti ou en France.
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Me voici revenue avec un petit texte pour Jean-Marc en ce 12 Septembre 2015. D'accord je pourrais vous parler d'autre chose, mais il faudra vous résigner car j'ai l'intention de continuer ce rituel jusqu'au bout de mes forces.
Aujourd'hui j'ai été inspirée par sa petite enfance, où ce cher bambin avait un caractères impossible, heureusement qu'il a bien changé par la suite. Mais tout petit déjà il avait un esprit vif présageant un bel avenir, comme il l'a démontré.
Jeunes années
Depuis plus de quatre ans
Je t’écris chaque mois,
J’ai évoqué, crois-moi,
Bien des évènements.
Ce jour, nous parlerons,
De tes jeunes années,
Tu étais déchainé,
Et criais sans raison.
Colère et jalousie
Etaient ton quotidien,
Puis soudain l’air de rien,
Tu changeas, Dieux merci.
Enfin un beau matin,
Tu offris un visage,
D’enfant vif, presque sage,
Appliqué et malin.
En classe, dès neuf ans
Tu aimas les études,
Et pris pour habitude
D’être premier souvent.
Tu parlais à voix basse,
Pour ne pas réveiller,
Un frère ensommeillé.
Il fallait qu’on s’y fasse,
Car il y’en avait trois.
Donc ce ton qui désarme
Et qui fait tout ton charme,
Eh bien, il vient de là.
Ce timbre doux et tendre,
Dont tu savais user
Pour chanter, t’amuser
Je crois encore l’entendre.
Notre Dame, le 12/9/15
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