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Je ne sais si vous l'avez subi mais ce mois d'Août 2014, ne nous a pas apporté chaleur et beau temps, il a même fait frisquet. Si vous avez échappé à ce temps catastrophique, je vous en félicite bien que vous n'y soyez pour rien.
Seuls les éléments naturels régissent notre planète et on se sent tout petit face aux orages et pluies diluviennes. Une bonne leçon d'humilité pour ceux qui s'estiment forts comme des dieux. Comme tout à chacun ils gèlent ou transpirent suivant les circonstances.
Quel est votre avis en la matière? Je serais très heureuse d'avoir vos commentaires.
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Comme spécifié déjà, il ne fait pas bon d'être malade ou seulement d'avoir un emploi du temps très chargé en raison de nombreux rendez-vous chez divers Docteurs en médecine, sinon votre blog (eklablog) est surveillé, tel un camp de concentration par des miradors, et traité d'inactif. Triste constatation!
Je vais donc tenter de m'adresser aux personnes qui subissent soit des traitements lourds, soit des dialyses pour savoir s'ils sont en forme et dans quels délais peuvent-ils se confier à leur blog? Personnellement il me faut un après-midi et une nuit pour retrouver toutes mes forces tant physiques qu'intellectuelles. Mais mon organisme n'est peut-être pas encore rompu à ces changements et est un peu lent à retrouver des réflexes normaux?
Quelques commentaires seraient les bienvenus.
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Depuis six semaines je suis prise en charge par l'AUB, centre de dialyses à Saint-Malo.
J'ai rebaptisé ce lieu AUBE, aube d'une nouvelle vie qui redonne espoir aux personnes qui comme moi souffre d'insuffisance rénale. Les docteurs, les infirmiers et infirmières sont très attentionnés, chaleureux et professionnellement remarquables.
Bien sûr, les effets positifs sont un peu longs à apparaitre mais doucement on les perçoit. D'une dialyse à l'autre le traitement est ajusté et j'espère que d'ici peu il sera parfaitement adapté. Et surtout que ces horribles crampes vont disparaitre.
Je vous raconterai d'ici peu l'évolution des choses.
Nota: AUB= Association pour laide aux Urémiques chroniques de Bretagne.
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A l'occasion de la fête de l'été, j'ai fort envie de vous parler de mon oranger du Mexique (Choisya doré), depuis plusieurs années il s'étale dans mon jardin de plus en plus magnifique de plus en plus majestueux.
Eté comme hiver il rayonne tel un petit soleil, réjouissant ma vue et au beau temps mon odorat de ses effluves délicates semblable en plus léger à celui de l'oranger.
Choisya, mon beau Choisya.
Choisya, tu trônes dans le jardin,
Etalant ton feuillage doré,
En distillant ton doux parfum,
Fleurant celui de l’oranger.
Seule la neige te déplait,
Printemps et surtout en été,
A t’exhiber tu te complais.
Tu frissonnes sous le vent,
Quand les promeneurs éblouis,
En photo te prennent souvent,
Il s’agit de gens avertis.
Admirateurs évidemment
Ton beau feuillage ensoleillé
Produit un véritable enchantement
Oranger du Mexique doré.
Bobital, le 21 Juin 2014
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Elle nous a quittés mon amie de longue date, je suis triste c'est certain, mais je crois que pour elle ce fût une délivrance. Nous ne pourrons plus évoquer nos souvenirs, souvent drôles. Reste la nostalgie de ces bons moments à jamais impérissables.
En hommage à Janine,
Mon Amie, Ma Copine.
Maman & Jeanine
Je voudrais te donner
Une rose rose-pâle
Symbole d'histoire,
Profonde et ineffable.
Mais je suis bien trop loin
Et ne peux qu'évoquer
Avec humour et soin
Quelques faits du passé
Nos fous-rires impromptus
Pour un geste ou un mot,
Qui laissaient très décus
Les aigris et les sots
Janine, JYann, Maman en 2001
Et ces éclats moqueurs
Tintant dans le lointain,
Sont gravés dans mon coeur,
Ils seront là demain,
Et demain et d'autres demains,
Pour adoucir le chagrin.
Avec Jean dit Jeannot son tane.
Bobital, le 1er Juin 2014.
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En 2012, à l'occasion de son anniversaire, je lui avais écrit le poème suivant :
A Ma Copine Janine
En ce jour d’anniversaire,
Ne sachant pas trop quoi t’offrir,
J’ai eu l’idée de te faire
Un bouquet de bons souvenirs.
Les fleurs seront des images,
Composées de mots et de flashs,
Formant page après page
Un livre qui rien ne cache.
Nos retours dans ta 2 Chevaux,
Comme on n’y voyait goutte,
Après avoir pris un p’tit pot;
Sobres nous l’étions, sans doute!
Le Coupable était le brouillard,
Nous roulions, bien souvent "au son",
Pour ne pas être en retard,
Rentrant, direct, à la maison.
Et nos petites échappées,
Chez Métagraph ou chez Ferrant
Acheter crayons et papier,
Et bien sûr, d’autres documents.
Ne pas oublier nos arrêts,
Quand nous écoutions des chansons,
Dans un snack simple et discret,
Devant une saine boisson.
Nous redémarrions très en forme,
Vers le bureau, sans nous presser
Y affronter femme, hommes
Toujours disposés à râler.
Mais nous vivions des jours heureux,
Bien ancrés dans ma mémoire,
Et entourés d’un ruban bleu,
Ça ferait une histoire.
A conter à la veillée,
Mais je crois qu’à Tahiti,
Ce serait mieux à midi
Afin de mieux rigoler.
Avec des bisous de ta copine Lili, le 8 Juillet 2012.
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