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             Hé oui, hier le 12 février c'était le soixantième poème depuis le départ de Jean-Marc. Toujours ses frères, enfants, amis pensent à lui. Moi aussi bien sûr, j'ai évidemment écrit un petit texte en souvenir (cela doit être le 60ème au moins). Je vous le livre : 

     

    Mon fils, cinq ans déjà....

     

     

    Cinq ans,

     

                          Laissons le temps au temps,

                          A sa patience bienfaitrice,

                          De mettre onguent c’est important,

                          Sur nos douleur et cicatrices.


                         Un lustre que tu es parti,

                         Doucement, le chagrin s’efface

                         Rassure-toi, mon cher petit

                         Parmi nous tu gardes ta place.

                       

                       Restent bien ancrés dans nos cœurs,

                       Ta voix, douce comme le miel,

                       Ton éternel sourire moqueur

                       Et ton regard plein de soleil.

     

    Mon fils, cinq ans déjà....

     

     

                                              Notre Dame  le 12/2/16

     

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        Ah oui! il semblerait que mon compte est inactif alors que le dernier article, date  du 16 courant soit 10 jours. J'estime que pour une personne dialysée, suivie par plusieurs médecins donc obligée d'aller à leur cabinet respectif, ayant quelques obligations et démarches personnelles à assurer, je dispose de peu de temps pour écrire un article, et un par mois ce n'est déjà pas mal.

        Il ne faudrait pas oublier qu'il m'arrive aussi d'écrire quelques poèmes lorsque l'inspiration survient et qu''il est impératif de les coucher sur papier(c'est une image sur l'ordinateur est plus juste) je n'ai pas trop de temps pour entretenir mon blog.

         Enfin je vous pardonne, et je vais vous parler de mon papa, Frédéric Babou, dont l'anniversaire était hier 25 Janvier, je ne vous donnerai pas l'année vous seriez affolés. Sachez toute fois que ces qualités de cœur et d'esprit étaient supérieures à celles du commun des mortels et qu'il aurait pu rivaliser avec  de soi-disant bons chrétiens, qui n'avaient ni sa tolérance ni sa générosité, ni sa droiture et le sens de la parole donnée. En fait il avait bien d'autres qualités, compensant son côté impatient, ses colères en face d'un travail bâclé, d'une injustice, ou d'un acte révoltant.

    Une patiente impatiente

    Frédéric Babou 1881 - 1952

     

       Moi je me souvient surtout de sa patience à mon égard, et surtout de sa tendresse et de son amour sans faille pour ma mère.

     

     

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  •                  Il y a quelques jours j'ai offert sur FB un texte dédié à Jean-Marc et extrait de mon premier recueil (à ce sujet mes deux recueils sont accessibles chez thebookeditions ou auprès de l'auteur) Bon voici donc ce texte :

    Le bracelet symbolique  (Récit d’un songe)


     


     Face à une situation

     Vraiment très extraordinaire,

     Je pressentais, bien qu’étrangère

    Les débuts d’une collision.

                      **

     Sous un ciel  bleu et lumineux

     Deux partis guerriers s’affrontaient ,

     De chaque côté d’une barrière

     Qui sans doute, m’apparaissait

     Faire l’office de frontière

     Qui semblait vitale à leurs yeux.

                           **

     Leur air résolu m’intriguait.

     Les hommes avaient des uniformes

     Faits d’éléments dépareillés,

     Leurs chefs étaient des gentilshommes

     En perruques et d’or galonnés.

     Chaque clan, la victoire briguait

                         **

     Sous le soleil les armes brillaient,

     S’entrechoquant dans le combat

     Qui dans cet endroit faisait rage.

     Pendant  qu’à cent mètres de là

     Lors d’un tama’ara’a (a) d’un autre âge 

     Des personnes en blanc festoyaient.

                              **

     Tout à coup ces gens se levèrent,

     Courant gaiement vers les soldats,

     Les incitants à être frères,

     À serrer l’autre dans ses bras,

     De mettre fin à cette guerre,

     En jetant leurs armes à terre.

                            **

     Et,  mon fils aîné arriva

     Son beau front paré d’un diadème.

     Avec soin il le transforma

     En un bracelet, un emblème,

     Qu’il fixa sur son avant-bras.

     Alors, chacun se prosterna.

                          **

     Oui je sais, ce n’était qu’un songe,

     Mais que pouvait-il  annoncer ?

     Tes futurs succès littéraires ;

     Et bien sûr ce fut confirmé.

     Tes grandes idées de liberté,

     Et ta sagesse légendaire,

     Etaient là aussi évoqués,

     Comme  ton refus du mensonge.

                           **

     Ces jolies images montraient,

     Le bel avenir qui s’offrait

     Et dont tu as pu profiter.

     La maladie n’a rien changé,

     Toujours au  tréfonds de ton cœur

    Tu as vu un monde  meilleur.

     

     

     

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  •      Meilleurs vœux pour 2016

         A tous : famille et amis

     

         Et voici l'an nouveau

         Qui apporte l'espoir

         En des jours bien plus beaux.

         Je vous souhaite d'avoir

         Au long de cette année 

         Joies, tendresse, bonheur,

         Quelques sous et santé.

         Et tout au fond du cœur

         Des secrets pour rêver.

         Un peu de bienveillance,

         Que vous réserverez

         A tous ceux dont la chance,

         Un jour s'est détournée.

         Et pour les êtres chers :

         Amour à satiété.

        

         

     

        

        

        

         

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  •            Eh oui, depuis le 30 novembres dernier je bénéficie des soins au nouveau centre de dialyse de Dinan. Les infirmières attentives, prévenantes, efficaces, nous accueillent avec le sourire et un professionnalisme égal en tous points à la vigilance des docteurs qui veillent sur notre santé.

               Le centre offre deux salles baptisées, l'un du Jerzual l'autre Les petits Diables, là ou je suis.

                Le dix de ce mois Le Nouveau Centre a eu les honneurs de la presse locale, ci-dessous un des articles : 

     

    Le centre hospitalier de Dinan compte désormais une nouvelle unité en ses murs pour prévenir et traiter la maladie rénale chronique.

     

    À Léhon, derrière l’hôpital René Pleven de Dinan, un nouveau bâtiment est désormais en service. Il s’agit d’une unité de dialyse.

    1,7 million d'euros d'investissement

    Imaginée en 2012, c’est finalement en septembre 2015 que les travaux de cette nouvelle unité se sont terminés. Coût de l’opération : 1,5 million, auxquels s’ajoutent 200 000 € d’équipements spécialisés.

    Un nouveau Centre de Dialyse

     

    À la manœuvre : AUB Santé. Un établissement de santé privé à but non lucratif qui s’occupe de « la prise en charge des patients atteints d’une maladie rénale chronique et des patients relevant d’une hospitalisation à domicile ».

    Jeudi 10 décembre, l’équipe médicale officialisait l’ouverture de l’unité. Un bâtiment de 500 mètres carrés, destiné aux patients « stables » nécessitant le recours à la dialyse.

    Un service de proximité apprécié

    « Les premiers retours sont très bons. Les patients sont moins fatigués par le déplacement », ajoute Françoise de Monti, infirmière coordinatrice pour l’AUB Saint-Malo - Dinan. En effet, auparavant, les patients devaient se rendre à Saint-Malo ou à Saint-Brieuc.

     

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