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                     Et si nous évoquions ma prime jeunesse, les douces sensations qui y sont rattachées qui viennent m'envahir "en bouffées de bien-être" et que je vous transmets : 

    Parlons de l'enfance

     

    Souvenance gourmande

     

     

     

    Dans mon  esprit  dort  souvenance

    De ces beaux jours, ces jours joyeux,

    Que furent ceux de mon enfance

    J’en garde traces au fond des yeux.

     

                                Chaque matin c’était la fête,

                                Il faut dire qu’en ce temps là

                                Une babiole, une fleurette

                                Vous mettait le cœur en joie.


                                Une tranche de pain bien frais

                                Ruisselante de confiture

                                Nous paraissait goûter parfait,

                                Qu’elle soit de fraises, de mûres.. 


    Elles variaient suivant saison,

                                Emmagasinant le soleil,

                                Qu’elles reversaient dans la maison,

                                Les soirs d’hiver, une merveille.

     

                               Les veillées lors des soirs d’automne,

                               Les châtaignes qui crépitaient,

                               La vieille horloge qui résonne,

                               Et les anciens qui racontaient…


                               Ils étaient simples nos plaisirs,

                               Mais brulent comme jolie flamme,

                               Entretenant mes souvenirs,

                               Et dans me tête et dans mon âme.

     

    Parlons de l'enfance

     

     

    *

     

                                    


     

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             Hé oui, hier le 12 février c'était le soixantième poème depuis le départ de Jean-Marc. Toujours ses frères, enfants, amis pensent à lui. Moi aussi bien sûr, j'ai évidemment écrit un petit texte en souvenir (cela doit être le 60ème au moins). Je vous le livre : 

     

    Mon fils, cinq ans déjà....

     

     

    Cinq ans,

     

                          Laissons le temps au temps,

                          A sa patience bienfaitrice,

                          De mettre onguent c’est important,

                          Sur nos douleur et cicatrices.


                         Un lustre que tu es parti,

                         Doucement, le chagrin s’efface

                         Rassure-toi, mon cher petit

                         Parmi nous tu gardes ta place.

                       

                       Restent bien ancrés dans nos cœurs,

                       Ta voix, douce comme le miel,

                       Ton éternel sourire moqueur

                       Et ton regard plein de soleil.

     

    Mon fils, cinq ans déjà....

     

     

                                              Notre Dame  le 12/2/16

     

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        Ah oui! il semblerait que mon compte est inactif alors que le dernier article, date  du 16 courant soit 10 jours. J'estime que pour une personne dialysée, suivie par plusieurs médecins donc obligée d'aller à leur cabinet respectif, ayant quelques obligations et démarches personnelles à assurer, je dispose de peu de temps pour écrire un article, et un par mois ce n'est déjà pas mal.

        Il ne faudrait pas oublier qu'il m'arrive aussi d'écrire quelques poèmes lorsque l'inspiration survient et qu''il est impératif de les coucher sur papier(c'est une image sur l'ordinateur est plus juste) je n'ai pas trop de temps pour entretenir mon blog.

         Enfin je vous pardonne, et je vais vous parler de mon papa, Frédéric Babou, dont l'anniversaire était hier 25 Janvier, je ne vous donnerai pas l'année vous seriez affolés. Sachez toute fois que ces qualités de cœur et d'esprit étaient supérieures à celles du commun des mortels et qu'il aurait pu rivaliser avec  de soi-disant bons chrétiens, qui n'avaient ni sa tolérance ni sa générosité, ni sa droiture et le sens de la parole donnée. En fait il avait bien d'autres qualités, compensant son côté impatient, ses colères en face d'un travail bâclé, d'une injustice, ou d'un acte révoltant.

    Une patiente impatiente

    Frédéric Babou 1881 - 1952

     

       Moi je me souvient surtout de sa patience à mon égard, et surtout de sa tendresse et de son amour sans faille pour ma mère.

     

     

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